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Le monde tel que je l'ai connu

Updated: Jan 9, 2022

“Triomphez pendant les soldes” c'est cette publicité qui m’a amenée à faire la photo remplit des êtres humains, je n'ai pas voulu que le mot du panneau publicitaire soit complet, juste pour prétendre de couper ce souffle enthousiaste qui manquait déjà au respect de l’agglomération de gens. Je pensait en prenant la photo de dire “détrompez vous dans le pedant de soldes! ”.

Dans ce temps en suspens du a l’arrivée du Coronavirus en Europe, j’actualise mes souvenirs par rapport à cette nouvelle situation mondial et je renvoi le slogan en disant cette fois-ci Triomphez dans le Coronavirus! à l’image de la publicité qui est dans la deuxième photo “restez vivant, buvez Orangina”

Le confinement m’a donné la nécessité de revoir mes images d’archive pour exorciser mes souvenirs d’une certain angoisse qui avait dans le temps disparu mais qui le Covid-19 a concrétisé à nouveau avec la pandémie pour ainsi revoir le monde tel que je l’ai connu.

Depuis le mot “Triomphez” a gagné en signification même en analogie sonore après l’élection du présidente de états unis d’Amérique désormais Monsieur Trump (Le clown dangereux) et c’est la même histoire qui se répète pour faire le constat qu’il n y a pas de triomphalisme sectaire dans cette crise... pour ce qui ont compris, on gagne tous ou on perd tous dans une thermosphère de désespoir grimpante qui nous fait dire “réveille vous!” et roulez au pas.

Cet fois-ci la ampleur d'un nouveau organisme vivant est un événement mondial, cette petit virus qui était déjà pronostiqué dans la communauté scientifique comme étant dangereux et qui a apparu dans un pays lointain: la Chine, apporte de l’insignifiant (et vice-versa) à nôtre ancien mode de vie, un poisson d’avril pensé dans le lexique artistique bien auparavant par le marchand du sel par excellence, Monsieur Duchamp que je cite librement en nous rappelant qu’il ne faut pas surestimez la valeur de l’inframince! et pourtant cette petit vie éphémère aller changer notre dite “civilisation” à jamais.

Que est-ce qui est devenu donc à présent cette joie collective de la fête de l'indépendance de la Cote d’ivoire célébré dans la place du Trocadero à Paris en 2012? Et mon ami Farid du Maroc qui vivait déjà dans le temps normale dans la rue depuis 7 ans quand je l'ai connu à Paris en 2009?

et l’homme humble qui vivait de donner une énième ou treizième vie au couteau du restaurateur Parisien? et les animaux du zoo qui bientôt seront sacrifiées pour sortir la tête de l'eau du marasme économique qui va mordre sur la planète (et on voit bien que ce virus nous révèle notre propre cruauté) et moi qui suis artiste indépendant et qui personne n'a soutenu quand la vie économique était en bonne santé élitiste et bien trompez dans le coup champitaliste des galeries et de vente aux enchères?

Je ne mais faite pas pour autant de regrets ou des préoccupations, et je vois cette virus comme une réponse de la nature avec signature divine ou humaine pour arrêter cette machine économique qui allez détruire le monde même si ce n’est que pour un petit moment le temps de rebâtir le cartes et relancer la machine kafkaïenne 3.0. pour le nouvel succès story planétaire.

Donc ce temps suspendu est une retour ou sources, un retour au temple romain sans touristes, un temps de contrition ou on peut payer spirituellement nôtre aveuglement. Les images de l’avant de cette événement aillaient trouver un ecco dans mon inconscient visuel submergée dans le temps mais désormais vivant et donnant une réponse naturelle au confinement de mon âme d’une période d’incertitude vu en rétro-per-spective qui va en effet faire ressortir le moment décisive dont ce jouait la vie, le moment de la naissance de mon fis Ellie et de sa mama Sandra Schmalz à Paris en 2013.

Lutèce allez jouer le rôle du théâtre berceau dont j’avais déjà bien mesure son pulse, son énergie centripète, comme ci ces images prise dans le passé, dans l’insouciance d’un flâneur allaient donner un éclairage à cette crise qui nous fait souvenir de ce qui est vraiment important dans la vie: la vie! à l’image sacré d’un future Maman qui porte son enfant au dessous de la ville mais en communion avec elle malgré sa violence extrême… et la vie dans toute cette bordel qu’on la mis en danger pour un matérialisme globalisée épuisée 2.0.2.0.

La Corona libéré redistribue le pouvoir à nouveau et nous enlève cette assurance d’une humanité qui se croyait au dessous de règles de la nature; donc on est obligé de revoir le compromis de chacun avec les autres âme qui habitent cette planète et c’est l’opportunité de voir un peu plus loin à condition qu’on arrête d’être des humains remplis de peur et qui se jettent désespérément au premier venu afin d’être sauvé par n’importe quel gouvernance technocrates qui mettent la lumière du savoir à leur fins et qui surement vont justifier le retour à l’ordre par l’obéissance et ainsi prendre en otage nos libertés sociétales (car on doit reconnaître plus que jamais que nôtre fragilité est une chance si on garde l’esprit critique et on le pousse plus loin, si on se connecte avec l’esprit de cette planète! donc accélérer le changement de modèle monétaire; plus d'écologie, de solidarité et de commerce régional, revenu universel pour les artistes, fini les guerres stupides et idéologiques, en resumé...liberté, égalité, fraternité).

En cherchant donc des autres perspectives je me suis penché pour cette magie révélé depuis la tradition millénaire des indiens de l’Amérique latine (et pas celle de la place de la concorde même si je les aime bien!), désormais réconciliée avec la philosophie antique et moderne, d’Homère à Paracelse dont on retrouve la même relation de l’homme aux forces de la nature avec les esprits des dieux sauvages, toutes visualisée dans la prier d’un Tabac-cigare, vision de fumée dont on voit comment les homme tombez au limbes de mythes, des homme de terre qui luttent en vain comme cette virus qui prend la vie si facilement à l’images des hommes du Popol-vuh incarnée dans l’installation de l’artiste Sandra Schmalz.

La ville de lumières est aveuglé dans son orgueil et donc secoué à nouveau: il y a eu déjà de signatures claires de ce qui allez arriver: attentas, mouvement sociales sans fin, la Cathédral de Nôtre Dame qui brûle etc. et toutes ce événement deviennent insignifiantes comme les homme puissant de ce monde des affaires qui tombent aussi malades. Donc c’est le temps de la contemplation et ensuite de l'analyse car cette Virus va révéler nôtre vrai nature, il faut renouveler le souvenirs, acte de mea culpa du sommeil dans laquelle on est, dans son signifiant avec le virus, comme la mise en question de la vie de luxe globalisé qui fait revenir le spectre de Vanités de la peinture flamand. La mort qui vient faire ses courses pour faire retourner le monde des hommes et de banques car à quoi est utile l’argent dans un monde si déséquilibrée dont 1 percent retiens la richesse de tous? À quoi sert donc l’argent si la majorité de l’humanité perd la vie en sacrifiant la santé de la planète pour soutenir un modèle économique pyramidale qui ne marche plus dont la plus part de gens n’arrivent pas à rejoint le deux bouts?...

Mais je ne me faite pas d’illusion pour la humanité, peut être juste pour chaque individu qui a compris dans la peur de cette pandémie a valoriser ce qu’on a (finalement juste soi-même et la nature) et pour ce qui ont appris à prier, pas dans la peur, mais pour l’amour à la vie. Donc je enterre ici les images du passé pour voir mieux ce qui va arriver, le temps presse car on va devoir s’adapter a une situation économique catastrophique. On ne verra plus cette indifférence des touristes quand Paris est en feu, l'homme portera son carme comme le temps dans un sac plastique, cette bombe à retardement qui est ce matériaux dérivé du pétrole et a son tour lui qui est le dérivé d’une autre catastrophe naturel, la morte de l’espèce de Dinosaure. Le sac mortel qui désormais peut se retrouver au fond des océans en emmenant dans les abysses le symbole de nôtre Civilisation.

Toute est à présent rénovation sans progrès, c'est le triumvirus de la Covid-19 envoyé par Pachamama pour se guérir de cette humanité qui la rend malade, mais on reste attaché à l’amour, au couple en devenir, à la guérison, pour croire à une maturité ou évolution, pour attendre une vieillesse (pas en étant cette fois ci un touriste de masse), mais dans la conscience de soi. Voila ce qui veut dire -restez chez soi-, restez proche de votre cœur, c’est une opportunité unique de se secouer synchro avec toute la planète pas par un match de foot mais par la peur de mourir ou de voir mourir le gens proches.

On a payé le prix, et on va le payer chère à nôtre orgueil pour les année à venir car on sait que le monde ne sera plus pareil: Célébrez donc positivement cette temps de transition à un nouveau ordre, ce temps d’adaptation ou le chemin sombre d’une route sinistre sans pavé est plus importante à desservir que le champs Élysée, et tant que Paris ce vide de ses touristes il restera toujours ses habitant du passe et ses sculptures qui vivent déjà sans se soucier de passagers ou de ou va le monde et nous rappellent à l’effigie de Monsieur Montesquieu que “La tristesse vient de la solitude du coeur.” Et la sculpture de Condorcet qui à l’image de sa main nous dit aussi qu’il faut choisir entre son cœur et le monde de fausse semblants politiques qui d'ailleurs l'ont couté sa tête. Heureusement on est pas seul quand on se retrouve à soi-même, bonne chance, c'est un travail a accomplir ensemble.

Ne cherchez pas à corriger ce texte, ou à le critiquer car ça ne sert à rien, je le sais bien, il y a plein des erreurs dans mes opinions de pacotille mais cela n’a pas d’importance, je me sens mieux de lesser toute ces images derrière moi.

 
 
 

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